- Photographies par Quentin Pruvost
- Extraits de texte par Robert Louis Stevenson
- Traduction française : Laurène Becquart
- Postfaces par Hervé Leroy et Jean-Philippe Mailliez
- Traduction anglaise : Harriet Thurgood
- Graphisme par Eric Le Brun, Quentin Pruvost et Arnaud Pavie
- Impression par Graphius
- Format : 21 x 27,5 cm
- 128 pages – 65 photographies (55 en couleur, 10 en noir et blanc)
- Edition en anglais et en français
- Tirage : 900 exemplaires
- Couverture imprimée sur Symbol Tatami Ivory 170g et gardes sur Sirio Rough Royal Green 115gr
Dos carré cousu collé
Photographies en quadrichromie sur Symbol Tatami Ivory 115gr et photographies en noir et blanc imprimées en pantone argenté sur Sirio Color Black 115gr
Extraits de texte sur Sirio Color Black 115gr
Postfaces sur Munken Print White 115gr - Parution : 8 novembre 2022
- ISBN : 9791095118237
- Prix public : 39 €
- Editions Light Motiv
Inland Voyage
Inland Voyage est un ouvrage d’ouverture, de quête vers l’inconnu. Il explore l’oeuvre de l’écrivain écossais Robert Louis Stevenson, notamment son court récit de voyage An Inland Voyage (Voyage sur les canaux du Nord), écrit en 1878, qui retrace avec humour et modernité le périple en canoë de Stevenson et de son ami Walter Grindlay Simpson sur les rivières et canaux de la Sambre et de l’Oise d’Anvers à Pontoise.
Les premières pages du livre nous font glisser doucement au fil de l’eau, jusqu’à entrer dans un monde en équilibre entre le rêve et la réalité. Les images du photographe Quentin Pruvost, parti sur les traces de l’écrivain, louvoient entre l’ombre et la lumière. Elles révèlent des éléments étonnants, des illusions, des souvenirs de rêves passés et d’aventures possibles dans les paysages et les rencontres, dans la végétation foisonnante, dans les constructions humaines le long des berges de la Sambre et de l’Oise. Le lecteur est emporté par le courant, charrié par les songes, suspendu tel un funambule entre le tangible et l’invisible.
Au milieu du livre, apparaît le temps du rêve. Les images des rivières glissent vers le conte. Elles sont noires et blanches, parsemées de touches argentées.
Dans la troisième partie, le lecteur découvre au fil du livre des apparitions mystérieuses et des paréidolies saisies par Quentin Pruvost, comme s’il côtoyait l’esprit créatif de Stevenson entre les songes et le monde physique. A la fin de la traversée, le lecteur, plus sensible aux signes envoyés par les rêves, aura peut-être un peu changé…
L’ouvrage se termine par deux postfaces : l’une signée par l’écrivain et journaliste Hervé Leroy noue un dialogue entre l’oeil (photographique) et le verbe (littéraire), l’autre signée par le journaliste Jean-Philippe Mailliez nous emmène au coeur de la vie aventureuse du conteur Stevenson.